Un an après son lancement (cf revue de presse du 20/04/04), l’anneau contraceptif Nuvaring peine à s’imposer. On recense à ce jour 20 000 utilisatrices, soit un peu moins d’1% de la population qui pourrait être intéressée.
Cet anneau contraceptif se place dans le vagin et diffuse des hormones contraceptives de façon constante pendant trois semaines. "Ce n’est pas la révolution" souligne Laurence Quentel Archier, gynécologue et membre de l’Association française pour la contraception. "Ce n’est pas très commode, la pose nécessite un entraînement et une relation assez simple à son corps" ajoute-t-elle.
Rappelons que le Nuvaring coûte 15 euros et n’est pas remboursé par la Sécurité sociale.
Libération (Julie Lasterade) 30/03/05 – Le Quotidien du Médecin 31/03/05