Selon l’Israeli National Institute for Health Policy Research, 75% des Israéliens recourant au diagnostic préimplantatoire, le font dans la perspective d’être sûrs d’avoir un garçon, plutôt qu’une fille. Pour la population Arabe Israélienne, 100% des demandes de DPI le sont pour obtenir un fœtus mâle.
A l’origine, en Israël, la procédure de diagnostic préimplantatoire était réservée aux parents susceptibles de transmettre une maladie génétique liée au sexe. Mais en 2005, il a été décidé que les parents qui avaient au moins quatre enfants du même sexe, pourraient également y avoir recours. Les demandes font ensuite l’objet d’un examen par un Comité qui détermine si les couples pourront ou non bénéficier de la procédure.
Israelhayom.com 23/11/2014