Le 1er janvier 2017, la modification de la loi sur les conditions de prélèvements d’organes est entrée en vigueur (cf. Don d’organes : un changement qui fait polémique).
Depuis novembre 2016, l’ABM note “une petite affluence des inscriptions” puisque 60 000 personnes supplémentaires se sont fait connaître sur le registre des refus qui compte aujourd’hui 185 000 inscrits.
Note Gènéthique :
Le refus au prélèvement d’organes et de tissus peut être total ou partiel, ne portant que sur certains organes ou tissus. Toute personne opposée au prélèvement doit en informer ses proches ou s’inscrire sur le registre national des refus par courrier ou en ligne (cf. Don d’organes : s’inscrire en ligne sur le registre du refus devient possible à partir d’aujourd’hui et Don d’organes : tous les modes de refus acceptés… mais sous contrôle).
Pour aller plus loin :
- Don d’organes : opportunité ou opportunisme ?
- Nouvelle campagne de l’ABM sur les modalités de refus du prélèvement d’organes
- [Film] “Réparer les vivants” : Le destin de certains hommes est-il d’en réparer d’autres ?
LCI, Virginie Fauroux, (01/03/2017)