Suite à une stimulation ovarienne hormonale et à une fécondation in vitro (FIV), le risque d’anomalies chromosomiques dans les embryons dépasse parfois les 50%. Indépendamment d’autres raisons médicales, une partie de ces anomalies semble être due au type de traitement utilisé pour « fabriquer » les embryons. C’est l’Académie d’Oxford qui met en évidence ce lien pour la première fois dans une étude[1] qui montre «une forte association entre les techniques de traitements de reproduction artificielle et l”incidence des anomalies chromosomiques chez les embryons humains générés à partir des cycles » de FIV.
Bioethics observatory (23/06/2017)