De la gestation pour autrui

Publié le 3 Oct, 2007

Le journal Le Monde revient sur la gestation pour autrui (GPA), une pratique interdite en France, mais autorisée dans certains Etats américains, en Australie, en Israël, en Afrique du Sud, en Grèce et en Grande-Bretagne.

Lors d’une réunion organisée par l’association Maïa, spécialisée dans l’aide aux couples infertiles, une jeune femme française a raconté pourquoi et comment elle avait eu recours à cette pratique.

Maïa milite en faveur d’une légalisation de la GPA et compte sur la révision en 2009 de la loi de bioéthique pour faire avancer le débat. Elle reconnaît toutefois que "la GPA entraîne des problèmes juridiques très aigus, sans compter son coût financier".

En début d’année l’Agence de la biomédecine avait mené une enquête sur ce sujet. 55% des personnes interrogées considéraient qu’il était acceptable "qu’une femme en bonne santé prête son corps à un couple pour lui donner la vie". Cependant, 44% des gens pensaient que le recours "aux mères porteuses" étaient autorisés en France. (Cf l’enquête : "Que nous dit l’opinion publique sur l’assistance médicale à la procréation, la génétique et la recherche sur l’embryon" ?)

Le Monde 03/10/07

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