une équipe américaine a transplanté des cellules de la rétine dans le cerveau de personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Cette première a permis d’améliorer les symptômes de cette maladie neurodégénérative qui se caractérise par un défaut de dopamine.
Ces cellules de rétine ont été prélevées sur des donneurs post-mortem.
Deux ans après l’opération, les chercheurs n’ont constaté aucun rejet de la transplantation et ont noté une amélioration de la coordination des mouvements ainsi qu’un recul de la dyskinésie (mouvements anormaux ou gêne dans les mouvements).
C‘est la première fois que cette thérapie cellulaire donne des résultats probants.
Le Nouvel Observateur (Cécile Dumas) 13/12/05