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Le Health Data Hub publie ses engagements

Le Health Data Hub publie ses engagements

Après son lancement en décembre 2019 (cf. Création de la plateforme Health Data Hub : un accueil réservé) et la divulgation deux mois plus tard des 4 axes de son plan stratégique pour la période 2019-2022 (cf. Plan stratégique du Health Data Hub : 4 axes dont un pour « garantir la participation de la société civile »), le Health Data Hub publie à présent « les engagements de la plateforme (…) vis-à-vis de ses partenaires responsables de données[1] ». Un document qui, bien que « sans portée juridique ou normative », vise à « décrire, sous la forme de grands principes, le partage des rôles et responsabilités ».

Plus de 50 % des Américains seraient prêts à vendre leurs données génétiques

Plus de 50 % des Américains seraient prêts à vendre leurs données génétiques

130 $, c’est le revenu moyen attendu par les Américains prêts à vendre leurs données génétiques. Une étude dirigée par Forrest Briscoe, chercheur à l’Université de Pennsylvanie, a interrogé 2020 Américains. Ceux-ci devaient imaginer fournir un prélèvement de salive afin que leurs données servent dans un programme de recherche biomédicale. « Les gens apprennent que ces données ont une valeur et qu’elles sont utilisées à des fins commerciales et monétisées, explique Forrest Briscoe. Les gens pourraient vouloir réfléchir davantage aux ‘conditions de l’échange’ et à l’’accord’ qu’ils concluent lorsqu’ils fournissent leurs données ».

Euthanasie en Belgique : l’objection de conscience des soignants et des institutions en question

Euthanasie en Belgique : l’objection de conscience des soignants et des institutions en question

En 2002, la Belgique adopte le principe de la dépénalisation de l’euthanasie dans certaines situations. Une loi dont les prérogatives vont être élargies au fur et à mesure des années. Aujourd’hui, la Belgique vient d’adopter un nouvel élargissement des conditions de la loi. Gènéthique a interrogé Léopold Vanbellingen, juriste et chargé de recherche à l’Institut Européen de Bioéthique pour faire le point.

La “PMA pour toutes”, une mesure lunaire ?

La “PMA pour toutes”, une mesure lunaire ?

Tout en remettant en cause certaines dispositions votées par l’Assemblée nationale, le Sénat n’a pour autant pas pris la mesure des dérives engendrées par l’ouverture de la PMA aux femmes homosexuelles et aux femmes seules. Alors que le projet de loi de bioéthique poursuit son parcours parlementaire et s’apprête à faire l’objet d’une deuxième lecture à l’Assemblée nationale, Gènéthique fait le point avec Aude Mirkovic, Maître de conférences en droit privé et Porte-parole de l’association Juristes pour l’enfance, auteur de PMA : un enjeu de société[1] et du roman En rouge et noir,[2] sur le texte qui vient d’être adopté par les sénateurs.

Les lucratives ventes de données de santé au Royaume-Uni

Les lucratives ventes de données de santé au Royaume-Uni

Les données de santé de millions de patients britanniques ont été vendues à des laboratoires américains. Le Clinical Practice Research Datalink (CPRD), l’organisme chargé d’émettre ces licences commerciales, a déclaré avoir bénéficié en décembre 2019, de revenus supérieurs à 10 millions de livres sterling (11 millions d’euros environ). Les licences payées par les industriels de la pharmacie, Merck, Brystol-Myers Squibb (BMS), Eli Lilly, ont coûté « jusqu’à 333 000 livres par dossier ». L’objectif affiché, pour les laboratoires, est de « tenter de mettre au point de nouveaux médicaments, de nouvelles stratégies de traitement et mieux comprendre le fonctionnement de certaines maladies ».

Le Japon approuve une thérapie génique traitant l’atrophie musculaire spinale

Le Japon approuve une thérapie génique traitant l’atrophie musculaire spinale

Mercredi 26 février 2020, un panel du Ministère de la santé du Japon a donné son approbation pour la production et la vente d’une thérapie génique destinée à traiter l’atrophie musculaire spinale. Ce médicament, le Zolgensma, développé par Novartis, vise à combattre cette maladie rare et incurable qui détruit la fonction musculaire par la diminution des cellules des motoneurones. Il doit être délivré aux patients de moins de 2 ans. Sans traitement, près de 75 % d’entre eux mourraient avant d’atteindre l’âge de 13,6 mois ou auraient besoin d’un respirateur artificiel.