Le NHS[1] a présenté des excuses après qu'un cabinet du Pays de Galles a recommandé à ses patients « atteints de maladies graves » de remplir un « formulaire "ne pas réanimer" » au cas où leur santé se détériorerait après avoir été contaminé par le...
Christine MANSILLA
Quelle protection des données en temps de pandémie ?
« Nombre d’autorités de protection des données ou d’agences gouvernementales ont publié sur leurs sites des recommandations en lien avec la pandémie de COVID-19. » Et « l’association internationale des professionnels de la protection des données (IAPP)...
Etats-Unis : Batailles judiciaires autour de la suspension des IVG pendant l’épidémie de COVID-19
Une décision de la Cour d’appel a autorisé « le maintien en vigueur » d'un décret de l’Etat du Texas qui suspend les avortements le temps de la pandémie de coronavirus. (cf. Aux Etats-Unis, des Etats privilégient la lutte contre le coronavirus plutôt que...
« S’il faut s’occuper du genre, ce sera du genre humain »
« L’homme ? L’humain ? L’humanité ? » « Tantôt reconduit par les antispécistes à sa condition animale, tantôt exporté par les technoprophètes dans l’univers des cyborgs, quand il n’était pas jugé l’ennemi de sa planète, Sapiens ne valait...
Protégé du COVID-19 par ses gènes ?
Des scientifiques s’interrogent sur la « sélectivité » de l’épidémie de coronavirus : « Seules certaines personnes tombent malades parmi les personnes contaminées et, bien que la plupart des personnes gravement malades soient âgées ou souffrent de facteurs aggravants comme les maladies cardiaques », certaines personnes sont mortes du Covid-19 alors qu’elles étaient « en bonne santé et même relativement jeunes ». Ainsi, des chercheurs à travers le monde se penchent sur le génome des patients, « à la recherche de variations de l’ADN qui expliqueraient ce mystère ». Les résultats de ces études « pourraient être utilisés pour identifier les personnes les plus exposées à une forme grave, celles qui pourraient être protégées, et ils pourraient également orienter la recherche de nouveaux traitements ».
Baisse des transplantations d’organes dans le monde, – 50% en France
En raison de l’épidémie de coronavirus, « l’activité de greffe d’organes connaît un ralentissement important avec une baisse de 50% des propositions depuis le début de l’épidémie », indique l’Agence de la biomédecine « dans un communiqué du 27 mars ».
Etats-Unis : Des juges fédéraux bloquent la suspension des IVG décidée en raison de l’épidémie de Covid-19
« Les juges fédéraux de l’Alabama, de l’Ohio et du Texas ont bloqué les ordonnances interdisant les procédures médicales non essentielles pendant l’épidémie de coronavirus. » . La mesure incluait l’avortement.
Covid-19 : Baisse des demandes d’avortements en Ile-de-France
Bien que la quasi-totalité des 16 centres de l’AP-HP où sont pratiqués des avortements soient restés ouverts malgré l’épidémie, Emmanuelle Lhomme, médecin responsable de la « cellule de régulation qui permet d’assurer la permanence de l’offre IVG en période estivale » a constaté « une baisse du nombre de demandes d’IVG depuis une semaine dans la grande majorité des centres d’Ile-de-France ».
Covid-19 : Au Canada, certains Etats renoncent à l’aide médicale à mourir. Pas tous.
Au Canada, « au moins deux établissements de l’Ontario » ont renoncé à pratiquer l’aide médicale à mourir (MAiD[1]) « afin de limiter les risques de transmission du virus » et « dégager des ressources ». D’autres n’ont pas fait ce choix, considérant ce « service » comme « essentiel ». Et permettent même « une évaluation virtuelle de l’éligibilité » du patient.
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