Dans un document en date du 14 mars, l’Agence de biomédecine (ABM) détaille ses recommandations quant au maintien ou non des procédures de procréation médicalement assistée (PMA) pour la période d’épidémie de Covid-19 et de confinement.
![Coronavirus : l’ABM recommande la suspension des parcours de PMA](https://www.genethique.org/wp-content/uploads/2021/06/06_pma_insemination_art_32.jpg)
Dans un document en date du 14 mars, l’Agence de biomédecine (ABM) détaille ses recommandations quant au maintien ou non des procédures de procréation médicalement assistée (PMA) pour la période d’épidémie de Covid-19 et de confinement.
Dans son ouvrage La Fin de l’individu, voyage d’un philosophe au pays de l’Intelligence artificielle, « une enquête, fruit de 125 entretiens avec des spécialistes pour la majorité américains et chinois », le philosophe et essayiste Gaspard Koenig « s’inquiète du nouveau monde proposé par les nouvelles technologies ».
En Nouvelle-Zélande, « par 68 voix contre 51 », le Parlement a voté ce jour la dépénalisation de l’avortement. Un acte qui était jusque-là considéré comme un délit et, à ce titre, « passible de 14 ans d’emprisonnement ».
Une étude de l’Université de Bristol a montré que « les données génétiques des élèves ne permettaient pas de prédire leurs résultats scolaires avec suffisamment de précision et ne devraient pas être utilisées pour concevoir un programme d’études génétiquement personnalisé ou adapter l’enseignement ». Les résultats ont été publiés dans la revue eLife[1].
Des chercheurs du laboratoire du Dr Neville Sanjana au New York Genome Center et à l’Université de New York « ont développé un nouveau type de technologie de criblage CRISPR pour cibler l’ARN ». Les résultats ont été publiés dans Nature Biotechnology[1].
En Argentine, « la Cour d’appel de Río Negro a confirmé, à la majorité, la condamnation du médecin Leandro Rodríguez Lastra pour entrave à un avortement légal ». Le 4 octobre 2019, le médecin avait été condamné à un an et deux mois de prison, ainsi que deux ans et quatre mois d’interdiction d’exercer une fonction publique (cf. En Argentine, un gynécologue obstétricien jugé coupable de non-avortement). En Argentine, l’avortement est légal en cas de viol, ce qui était le cas pour cette femme, ou quand la vie ou la santé de la mère est en danger.
En 1997, la GPA commerciale est autorisée au Mexique. Les agences internationales de GPA commencent à s’y implanter drainant des « dizaines de milliers de patients » : le coût de la GPA, bien plus faible au Mexique « 70 000 $ en moyenne » dans l’Etat de Tabasco, au Mexique, contre « plus de 180 000 $ » aux Etats-Unis. Les mères porteuses mexicaines touchent environ 10 000 $, soit « plus de quatre fois le revenu moyen obtenu en 9 mois au Mexique ». En 2016, « 95% des patients sont étrangers ».
Le 12 mars 2020, le site web du district de santé publique de Champaign Urbana (CUPHD), « une institution en charge de centraliser les ressources et les informations de santé de plus de 210 000 habitants de l’Illinois » a subi « une cyberattaque par rançongiciel ». Trois jours après le déclenchement de l’attaque, le site était de nouveau fonctionnel. Selon l’administratrice en charge du district, Julie Pryde, « les dossiers médicaux électroniques, les emails, et les données de santé étaient bien cloisonnés et n’ont pas été concernées par l’attaque ».
Aux Etats-Unis, « les législateurs de l’Utah ont adopté cette année une nouvelle réglementation sur l’avortement, dont une mesure approuvée jeudi par l’assemblée législative contrôlée par les républicains, qui interdirait la plupart des avortements si l’affaire Roe v. Wade est annulée ». En effet, « la nouvelle mesure stipule que l’Utah interdira tous les avortements, sauf dans des cas comme le viol ou une menace grave pour la santé de la mère ». Ce qui « pourrait signifier des accusations de crime pour un médecin ou une femme qui a mis fin à sa propre grossesse ».