Christine MANSILLA

L’UNESCO nomme des experts pour se pencher sur les questions éthiques liées à l’Intelligence artificielle

L’UNESCO nomme des experts pour se pencher sur les questions éthiques liées à l’Intelligence artificielle

La directrice générale de l’UNESCO[1], Audrey Azoulay, vient de nommer 24 experts parmi « les plus grands experts mondiaux sur les défis sociaux, économiques et culturels de l’intelligence artificielle (IA) afin qu’ils rédigent des recommandations applicables au niveau international sur les questions éthiques soulevées par le développement et l’utilisation de l’IA »[2]. Lors de leur dernière conférence générale en novembre 2019, les « 193 États membres de l’UNESCO » l’avaient chargée « d’élaborer le premier instrument normatif mondial » sur cette question.

CRISPR-Cas9 : des effets « off target » plus nombreux et difficiles à détecter

CRISPR-Cas9 : des effets « off target » plus nombreux et difficiles à détecter

Selon les résultats d’une étude récente[1], l’outil d’édition du génome CRISPR-Cas9 est « fréquemment à l’origine de mutations de l’ADN que les analyses ordinaires ne permettent pas de détecter ». Des résultats qui « suggèrent que l’édition de gènes est plus sujette aux erreurs que l’on ne le pense et, en outre, que l’identification et l’élimination des résultats défectueux et indésirables ne sont pas aussi faciles qu’on le suppose généralement ». Selon les chercheurs qui ont mené l’étude, il s’agit de « graves écueils ».

Des chimères souris-homme pour étudier des tumeurs cérébrales

Des chimères souris-homme pour étudier des tumeurs cérébrales

Aux Etats-Unis, des chercheurs du laboratoire de Rudolph Jaenisch, membre de l’Institut Whitehead, de l’Institut Koch du MIT et de l’Institut du cancer Dana-Farber ont développé « une nouvelle façon de modéliser les tumeurs de neuroblastomes humains chez les souris en utilisant des chimères ». Ici, « des souris qui ont été modifiées pour avoir des cellules humaines dans certaines parties de leur système nerveux ».

Un chiffre d’affaires record pour la société Mithra sur le marché de la contraception

En 2019, le chiffre d’affaires de la société belge Mithra « a augmenté de 47% par rapport à l’année précédente, pour atteindre le montant record de 96,5 millions d’euros ». Et ce, « principalement grâce à l’accord signé avec l’australien Mayne Pharma concernant la commercialisation de la pilule contraceptive Estelle aux États-Unis ».